C’est un voyage Parcs d’Attractions exclusivement, à l’occasion des vacances de Pâques.
Virginie a maintenant 11 ans et va beaucoup plus apprécier qu’en 1982 où ce fut surtout un voyage pour nous.
Pas de soucis d’organisation ni d’angoisse à l’embarquement, tout est prévu par le Comité d’Entreprise de la Compagnie où nous travaillons ! Heureusement, nous avons encore la liberté d’aller où nous voulons quand nous voulons. On nous vend le passage en avion, la voiture de location, l’hôtel et les entrées pour les parcs. Libre à chacun de faire comme il le souhaite une fois sur place.
Un hic tout de même de taille, le Comité d’Entreprise a réservé les vols directs pour les cadres, et nous petits employés nous devons nous contenter d’un aller :
Orly/Newark/Baltimore/Orlando, soit 25 heures de voyage avec des escales qui n’en finissent pas !
Retour : pas mieux !
Orlando/Charlotte/JFK/Orly
Nous arrivons en pleine nuit à Orlando. Heureusement nous sommes attendus à l’aéroport pour recevoir notre carnet de route. La petite troupe se regroupe et tout le monde compte sur Germain pour prendre la tête du convoi qui nous conduit jusqu’à l’hôtel. Heureusement l’itinéraire est comme souvent aux USA non seulement facile mais particulièrement bien expliqué.
Je n’ai aucun souvenir de l’ordre dans lequel nous avons enchaîné les visites. Je me souviens par contre de notre premier jour à DISNEYWORLD où nous avons essuyé un orage tropical intense et pataugions dans 20 cm d’eau. En quelques minutes, nous circulions tous en uniforme dans nos ponchos jaunes en plastique à l'effigie de la souris … un moyen pour le parc de s’enrichir un peu plus tout en faisant sa pub !
Virginie a maintenant 11 ans et va beaucoup plus apprécier qu’en 1982 où ce fut surtout un voyage pour nous.
Pas de soucis d’organisation ni d’angoisse à l’embarquement, tout est prévu par le Comité d’Entreprise de la Compagnie où nous travaillons ! Heureusement, nous avons encore la liberté d’aller où nous voulons quand nous voulons. On nous vend le passage en avion, la voiture de location, l’hôtel et les entrées pour les parcs. Libre à chacun de faire comme il le souhaite une fois sur place.
Un hic tout de même de taille, le Comité d’Entreprise a réservé les vols directs pour les cadres, et nous petits employés nous devons nous contenter d’un aller :
Orly/Newark/Baltimore/Orlando, soit 25 heures de voyage avec des escales qui n’en finissent pas !
Retour : pas mieux !
Orlando/Charlotte/JFK/Orly
Nous arrivons en pleine nuit à Orlando. Heureusement nous sommes attendus à l’aéroport pour recevoir notre carnet de route. La petite troupe se regroupe et tout le monde compte sur Germain pour prendre la tête du convoi qui nous conduit jusqu’à l’hôtel. Heureusement l’itinéraire est comme souvent aux USA non seulement facile mais particulièrement bien expliqué.
Je n’ai aucun souvenir de l’ordre dans lequel nous avons enchaîné les visites. Je me souviens par contre de notre premier jour à DISNEYWORLD où nous avons essuyé un orage tropical intense et pataugions dans 20 cm d’eau. En quelques minutes, nous circulions tous en uniforme dans nos ponchos jaunes en plastique à l'effigie de la souris … un moyen pour le parc de s’enrichir un peu plus tout en faisant sa pub !
A EPCOT, nous avons voulu déjeuner chez Paul Bocuse (pas cher) dans le « Pavillon » français, mais 2 jours de suite nous nous y sommes rendus pour apprendre qu’au niveau de la queue où nous nous trouvions, il y en avait pour 3 heures d’attente !
Nous sommes allés à MGM DISNEY STUDIOS.
Et à UNIVERSAL STUDIOS (les photos de ces deux parcs sont peut-être mélangées)
Soit dit en passant, ces deux dernières attractions existent toujours (en janvier 2010) mais qu'il est désormais interdit de les photographier ou de les filmer.
C’était l’époque de « Chéri j’ai rétréci les gosses » et aussi celle d’une nouvelle attraction : « King Kong » pour laquelle il nous a fallu attendre plus d’une heure pour seulement quelques minutes de frisson.
Cette navette est celle du parc, pour nous rappeler que CAPE CANAVERAL n’est qu’à deux pas, ou presque. Alors nous irons également y faire un tour.SEAWORLD
Virginie se prend pour un bébé le temps d’une photo.
Et me voici avec le seul caméscope que nous ayons eu. C’est le premier modèle qu’a sorti Sony en 1985, au format Betamax. Une petite révolution quand on sait qu’avant pour faire de la vidéo on se traînait un magnétoscope-enregistreur en bandoulière sur lequel était branché une caméra. Malgré ce progrès, c’était lourd, encombrant et fragile et ça fait sourire quand on connaît un peu le matériel actuel …
Nous avons vu tous les spectacles dont celui de Shamu l’orque et son petit.
En plus de programme prévu, nous allons visiter CYPRESS GARDENS un peu plus au sud. 
Virginie pause avec ses lunettes de star.
Ce sont de jolis jardins tropicaux aux parterres éblouissants dans lesquels se promènent ou pausent des « belles du sud » en crinoline tout droit sorties de « Autant en Emporte le Vent ». On peut se faire photographier avec elles … ou tout seuls comme ici, appareil posé sur un socle devant un miroir.
Beaucoup d’eau dans ce parc donne un peu de fraîcheur à cette torride journée.
Ouvert depuis 1936, ce fut l’ancêtre des parc d’attractions dans cette région et il fut le premier à présenter son célèbre spectacle de ski nautique qui fut sa renommée. Il a connu une période de déclin et ferma en 2003. Il rouvrit deux ans plus tard.
