Après une nuit dans un confortable hôtel de Roissy, nous quittons Paris par une fraîche matinée de décembre. Il ne fait que quelques degrés au-dessus de zéro.
Nous saluons notre A.380 avant de décoller.
Dix heures plus tard, nous atterrissons à Miami. Il fait 29° ! Nous portons toujours nos vêtements d’hiver, il nous tarde d’arriver à l’hôtel pour nous changer.
C’est notre troisième séjour en Floride. En 1982, nous en faisions un rapide tour et nous attardions à Orlando pour l’ouverture d’un nouveau parc : Epcot. C’était aussi l’époque glorieuse des premiers lancements (réussis) de la navette spatiale où nous assistions en direct à l’un d’eux. Nous sommes revenus à Orlando uniquement, en 1991 pour essayer les nouveaux parcs et revoir les plus anciens.
Compte tenu qu’aux USA, c’est la haute saison, j’ai préféré jouer la sécurité. Une fois n’est pas coutume, j’ai réservé un hôtel pour notre arrivée. Il est censé avoir un service de navettes aéroport-hôtel, hôtel-port, hôtel-hôpital, hôtel-centre ville pour shopping. Le tout gratuit. Mais il n’y a qu’un véhicule pour assurer le tout et ce n’est qu’après trois appels téléphoniques et deux heures d’attente qu’on viendra enfin nous chercher à l’aéroport !!!
Nous y passons une nuit épouvantable parce la majorité des chambres donne sur une voie expresse. Sans compter que Germain a programmé le réveil pour 9 heures… heure française (donc 3 heures du matin) !
Voici Miami vu du 13ème pont de notre bateau.
C’est notre troisième séjour en Floride. En 1982, nous en faisions un rapide tour et nous attardions à Orlando pour l’ouverture d’un nouveau parc : Epcot. C’était aussi l’époque glorieuse des premiers lancements (réussis) de la navette spatiale où nous assistions en direct à l’un d’eux. Nous sommes revenus à Orlando uniquement, en 1991 pour essayer les nouveaux parcs et revoir les plus anciens.
Compte tenu qu’aux USA, c’est la haute saison, j’ai préféré jouer la sécurité. Une fois n’est pas coutume, j’ai réservé un hôtel pour notre arrivée. Il est censé avoir un service de navettes aéroport-hôtel, hôtel-port, hôtel-hôpital, hôtel-centre ville pour shopping. Le tout gratuit. Mais il n’y a qu’un véhicule pour assurer le tout et ce n’est qu’après trois appels téléphoniques et deux heures d’attente qu’on viendra enfin nous chercher à l’aéroport !!!
Nous y passons une nuit épouvantable parce la majorité des chambres donne sur une voie expresse. Sans compter que Germain a programmé le réveil pour 9 heures… heure française (donc 3 heures du matin) !
Cet hôtel mérite qu’on en retienne le nom… pour l’éviter ! C’est le MIAMI AIRPORT NORTH de la Chaîne RODEWAY INN. Mal entretenu et pas très propre non plus. Un atout néanmoins (outre ses navettes gratuites, mais inefficaces et son prix très raisonnable de 49 $) : son petit-déjeuner gratuit avec œufs au bacon et pancakes au restaurant d’à côté où nous avons goûté une délicieuse cuisine grecque la veille pour le dîner. C’est la seule chose que je regretterai parce que si nous avons prévu trois autres nuits à Miami durant ce séjour, ce n’est sûrement pas dans ce quartier ni dans cet hôtel que nous descendrons.
Ce matin, la réception nous avait promis une navette pour nous rendre au port à 11 heures précises… nous ne la verrons qu’une heure plus tard. Un mauvais point supplémentaire !
Dès midi, l’embarquement sur le Norwegian Jewel commence. Il emporte 2.376 passagers (et plus de 1.000 membres d’équipage) vers les Caraïbes. C’est le plus gros bateau de croisière sur lequel nous ayons navigué : 300 mètres de long, 14 ponts, aussi à la fin de cette journée, à force de s’y perdre, nous ressentons bien la fatigue ! C’est aussi l’un des plus gros de la compagnie qui attend pour 2010 un géant des mers, une véritable ville flottante de 4.200 passagers auquel il convient d’ajouter l’équipage. Je hais la foule. Déjà là c’est trop pour moi.
Ce matin, la réception nous avait promis une navette pour nous rendre au port à 11 heures précises… nous ne la verrons qu’une heure plus tard. Un mauvais point supplémentaire !
Dès midi, l’embarquement sur le Norwegian Jewel commence. Il emporte 2.376 passagers (et plus de 1.000 membres d’équipage) vers les Caraïbes. C’est le plus gros bateau de croisière sur lequel nous ayons navigué : 300 mètres de long, 14 ponts, aussi à la fin de cette journée, à force de s’y perdre, nous ressentons bien la fatigue ! C’est aussi l’un des plus gros de la compagnie qui attend pour 2010 un géant des mers, une véritable ville flottante de 4.200 passagers auquel il convient d’ajouter l’équipage. Je hais la foule. Déjà là c’est trop pour moi.
Voici Miami vu du 13ème pont de notre bateau.