Une
grosse étape nous attend aujourd’hui, rallongée sur les conseils de notre hôte,
la route n° 1 étant difficilement praticable sur une partie du tronçon. Le ciel
est bas et bruineux.
Djúpivogur, Breiðdalsvík, Fáskrúðsfjörður :
Juste
pour une halte agréable.
Nous
poursuivons par la route qui longe les fjords du sud-est, puis nous empruntons
un tunnel sous la montagne pour remonter jusqu’à Egilsstaðir où nous nous
restaurons dans un supermarché Netto. En Islande, il est souvent possible de manger à l'abri, le supermarché local offrant quelques tables pour se poser le temps d'un repas sur le pouce.
Nous
passons quelques belles cascades, des stations de skis, mais sans jamais perdre
de vue que ces « montagnes » ne sont rien d’autres que d’anciens
volcans comme partout en Islande.
Les
ponts sont toujours à voie unique dans le sud de l'Islande…
Quand
nous arrivons du côté du Lac Mývatn, le paysage change du tout au tout.
Námafjall :
L’odeur
du souffre est saisissante et prend à la gorge. Le sol est comme brûlé et les
marmites de boue sont en fusion (la boue bout !). La terre fume. C’est
l’antre du diable.
Krafla :
De
l’autre côté de la route un peu plus loin, au-dessus de la centrale
géothermique, nous découvrons le Cratère Viti et ses eaux turquoises.
Le
site prometteur de Landsvirkjun avec ses coulées de lave cordée encore fumantes
est malheureusement fermé parce qu’en alerte en ce moment.
Reykjahlíð :
C’est
dans cette bourgade au bord du Mývatn que j’ai réservé un appartement à la Guesthouse Elda. Il est
très grand et agencé comme pour des vacances. C’est presque dommage de n’y
passer qu’une nuit !
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