Hverfjall :
Le
volcan noir. Nous renonçons à l’escalader et en faire le tour faute de temps.
Dimmuborgir :
Nous
empruntons un sentier de randonnée qui serpente
au milieu d’étranges sculptures de lave. La roche est brûlée comme du feu de l'Enfer.
Skútustaðir :
Au
bord du Mývatn se trouve cette grande concentration de pseudo-cratères. Datant
de plus de 2000 ans, ils ne proviennent qu'indirectement de l'activité
volcanique, car ils ont été créés par des explosions de vapeur qui ont eu lieu
lors du contact de la lave avec l'eau du lac.
Nous
avons de la chance, le vent souffle fort ce qui empêche les moucherons de venir
nous ennuyer. Dommage, je nous avais confectionné de superbes chapeaux-moustiquaires !
Húsavík :
Cap
au nord, nous nous dirigeons vers la baie d’Húsavík. La « ville »
paraît presque grande au regard de toutes les autres précédemment traversées.
Elle possède une belle église sur fond de volcan noir couvert de lupins bleus.
Direction le port avec au
programme un safari baleines.
Nous enfilons des combinaisons chaudes et
imperméables par-dessus nos anoraks et autres bonnets. Elles s’avéreront vite
insuffisantes. Je n’ose même pas imaginer la même balade en hiver !
Nous
nous attendions (comme sur le dépliant) à voir les cétacés sauter hors de l’eau,
d’autant que nous sommes à la saison des amours. Rien de tout cela, seulement
quelques sondages des monstres, queue en l’air.
Goðafoss :
Cette
chute, l’une des plus célèbre d’Islande, mesure 30 mètres de largeur pour
12 mètres
de hauteur. En l'an 1000, le parlement islandais décide de suivre l'avis
du « diseur de loi » Þorgeir Þorkelsson et adopte
le christianisme. En revenant dans sa contrée, celui-ci montre l'exemple
en jetant les idoles de l'ancienne religion nordique dans cette chute. Le
nom Goðafoss signifie « la chute des dieux » en souvenir de
cet événement.
Il
s’est remis à pleuvoir.
Akureyri :
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