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mercredi 30 mai 2007

CHINE - MAI 2007 - JOUR 1 et 2 : PEKIN


Nous débarquons tôt le matin à Pékin. Notre visa est en règle aussi les formalités sont relativement rapides et nous ne nous sommes pas encombrés de beaucoup de bagages : 11 kg chacun tenant dans un sac à dos bien pratique puisqu’on peut également le transformer en sac à roulettes.

Dès la sortie de l’aéroport, nous repérons que l’arrêt d’un bus local porte le même nom que celui de la rue de l’hôtel que nous avons réservé. Ce n’est pas cher, et nous permet dès l’arrivée d’être en immersion totale. Les Chinois ne sont pas hostiles, même pas curieux, juste indifférents de nous voir assis parmi eux.

Une ligne de métro (la 13A) prévue pour 2008 relie l’aéroport à la « Ligne de Boucle »


Nous descendons à l’arrêt en question dans une intersection à plusieurs voies toutes écrites en chinois. 


Après une demi-heure d’errance, à l’aide d’un vague plan et munis de notre réservation, nous tentons de nous faire comprendre d’un policier. A la fin de la matinée, nous arrivons enfin. Nous étions sur la bonne voie, mais l’hôtel PING AN FU se trouve à l’autre extrémité de l’immense artère ! Cependant, nous avons déjà pris nos marques : les petites épiceries où se ravitailler en eau (en mai il fait déjà très chaud) la station de métro la plus proche pour nos prochaines visites, le marché, etc.


A l’hôtel, on s’aperçoit très vite des limites des Chinois en matière d’accueil. On comprend à peine notre anglais et le sourire n’est pas de rigueur. D’autre part, je pensais trouver une sorte d’agence de tourisme dans l’établissement. Rien ! Je suis donc bien heureuse d’avoir pris mes dispositions à l’avance.

A peine nos bagages posés, nous partons explorer un quartier de la ville historique. Pour cela, nous hélons un taxi. Si la course est relativement courte et en dehors des heures de pointe, c’est le moyen le plus économique de visiter la ville à trois. Il y a un compteur donc pas de marchandage comme dans la majorité des pays limitrophes (du moins dans les années 70)
Le chauffeur ne comprend pas l’anglais. Pas de problème ! Sur ma « Cartoville » (Gallimard) il y a des photos des sites touristiques et leur nom en chinois et en français. C’est ainsi que nous commençons par la Tour de la Cloche.

Arrivés tout près, nous envisageons nous restaurer. La carte est rédigée en chinois, aussi je demande conseil à des Francophones que j’ai repérés en entrant. Ce qui fait qu’on déjeune très bien.


Ils nous paraissent très raides les escaliers de la tour de la cloche après une nuit d'avion !


La Tour du Tambour vue de la Tour de la Cloche



Vue sur les Hutong depuis la Tour du Tambour

Une promenade en cyclo-pousse.


Après marchandage, on décide d’un prix et d’une durée que nous réglons avant le départ. Nous visitons contre monnaie, une première maison du « Quadrilatère ». Sans intérêt. 


Nous n’acceptons pas d’en visiter d’autres et à la moitié du parcours, voilà que nos cyclistes s’arrêtent de pédaler et nous réclament encore de l’argent sous peine de ne pas nous ramener au point de départ. Qu’à cela ne tienne, ils nous ont justement abandonnés près du Parc Behai où nous voulions nous rendre, ce qui nous arrange vu l’état de fatigue dans lequel nous nous trouvons. Nous les quittons donc sans débourser plus mais sous une pluie d’injures !



Détail d'un plafond de pagode

Nous terminons par le Parc Jingshan, contigu plus connu sous le nom de « Colline de Charbon »



Dans les rues, on joue partout : aux cartes, au mahjong, aux dominos, à des jeux qui nous sont inconnus.




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