Ce matin, nous avons rendez-vous avec notre
chauffeur-guide parlant français ou au moins anglais selon ce qu’il a été
négocié avec l’agence. Sauf que ce n’est pas le cas ! Cependant, il a des
ordres précis sur les endroits où nous conduire… et surtout un
téléphone en liaison permanente avec un interprète de l’agence en cas de
problème !
Nous quittons la ville pour l’une des portes
d’entrée de la muraille proche de Pékin : Jinshanling.
Que les marches sont hautes et surtout
irrégulières !
L’après-midi nous essayons un autre site : Simatai,
beaucoup plus sauvage, plus en altitude et moins bien entretenu. On y accède
par des bennes au plancher rouillé et percé puis par un funiculaire.
Ensuite il reste encore beaucoup à monter avant l’ultime
récompense. On s’aide de cordes tendues, de chaînes, des Chinois viennent à la
rescousse pour nous hisser au sommet (avant de vous proposer leurs
marchandises !) Mais l’effort
valait la peine.
Si nous avons choisi ces deux sites c’est parce qu’ils sont
un peu éloignés de Pékin donc moins touristiques (en 2007). Pas d'autoars, à peine
quelques étrangers isolés comme nous. Tout ce que j’aime !
De retour à l’hôtel, après un brin de toilette nous avons
rendez-vous avec notre chauffeur pour un dîner spécial canard
laqué en ville. Voilà qui nous réconcilie avec la "gastronomie" chinoise après l’expérience du
déjeuner pas tout à fait à notre goût.
A la fin du repas, nous sommes reconduits à notre point de
départ.
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