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mardi 22 mai 2012

ISTANBUL - MAI 2012 - JOUR 2 : CROISIERE SUR LE BOSPHORE


Nous prenons le tram à Aksaray jusqu’à Eminönü.

Les trams sont modernes et propres. On les prend avec des jetons achetés au « Jetonmatik » ou avec un pass rechargeable. Mais les machines sont écrites en Turc ce qui complique un peu. Le trajet est à 2 LT (env. 0,85 €) quelle que soit sa durée et sa longueur. Ils circulent jusqu’à tard dans la nuit.

Immédiatement à droite du Pont de Galata, un bateau de ligne régulière dessert les principales villes du Bosphore. Nous allons jusqu’au terminus, Anadolu Kavagi avec celui de 10 h 35.

Tout au long du trajet, ce ne sont que palais, forteresses et mosquées témoins d’une autre époque.









Nous débarquons une heure et demie plus tard et commençons l’ascension vers les ruines de Yoros. Ce n’est pas très loin mais ça grimpe !




De là le panorama sur le Bosphore et sur l’embouchure vers la Mer Noire est exceptionnel.




En regagnant le village, nous déjeunons d’un plat de poisson pour 5 LT (un peu plus de 2 €) dans une petite gargote sur le port.


Nous repartons à 15 h avec le dernier bateau. Nous croisons la route de quelques dauphins.


La rive Est n’a rien à envier à celle d’en face avec ses somptueux palais.




Et à 16 h 30 nous sommes de retour au Pont de Galata.


C’est à pied que nous nous rendons à la Gare d’Istanbul. Celle-là même qui voit arriver l’Orient-Express.


La circulation est celle de beaucoup de villes du sud, brouillonne et bruyante. 



Il ne fait pas bon être piétons à Istanbul non plus !



Nos chaussures sont très poussiéreuses de la marche de ce matin, un brin de toilette ne leur font pas de mal !


Dans le quartier les pâtisseries turques sont une invitation aux gourmands à laquelle il nous faut nous soumettre… sans  violence aucune !


Nous restons flâner dans le quartier. Chaque rue semble avoir sa spécialité : dans l’une les boutiques de téléphones portables se succèdent, dans une autre ce sont les appareils photos, encore une autre et ses instruments de musique, etc.

A 19 h nous entrons dans le Centre Culturel Hodjapasha pour assister à la cérémonie des Derviches Tourneurs. C’est moins authentique que les sorties organisées dans les monastères mais ça a le mérite de ne pas durer trop longtemps (1 h contre 3 à 4 h avec tous les commentaires qui s'ensuivent).  Ici, on va à l’essentiel : la musique soufie et le rituel. Les photos et vidéos sont interdites. Pour avoir une idée du « spectacle » cliquer ici et sur la vidéo du site.

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