NOEL A DUBAÏ
Pourquoi passer Noël ailleurs qu’en France ? Simplement pour échapper à la fièvre des fêtes, à cette boulimie de décorations, de nourritures grasses, et de cadeaux... sans compter la neige et le froid cette année.
Nous réussissons à décoller de Roissy entre deux fermetures d’aéroport pour cause de chutes de neige, avec à peine une demi-heure de retard. Le vol va durer 6 heures et demie et c’est encore frais que nous débarquons en pleine nuit à Dubaï International puisque chez nous il est trois heures de moins.
Pourquoi passer Noël ailleurs qu’en France ? Simplement pour échapper à la fièvre des fêtes, à cette boulimie de décorations, de nourritures grasses, et de cadeaux... sans compter la neige et le froid cette année.
Nous réussissons à décoller de Roissy entre deux fermetures d’aéroport pour cause de chutes de neige, avec à peine une demi-heure de retard. Le vol va durer 6 heures et demie et c’est encore frais que nous débarquons en pleine nuit à Dubaï International puisque chez nous il est trois heures de moins.

Le passage à l’immigration est rapide et nous n’avons pas de bagages enregistrés. A cette heure avancée, le métro ne fonctionne plus alors nous prenons la compagnie des taxis de Dubaï (de couleur crème avec le toit rouge, orange, verte, ou bleu) pour nous mener à l’hôtel. Leurs chauffeurs sont en uniforme avec des épaulettes de la couleur du toit de leur voiture.

LE DUBAÏ DES ANNEES 70
Petite ville de pêcheurs de poissons et de perles, ce n’est qu’en 1966 qu’on y découvrit du pétrole ce qui accéléra son essor lors des premières exportations en 1969.
En 1972, lors de mon premier passage à Dubaï, en route pour l’Extrême-Orient, quand le 707 d’Air France s’y posait la nuit, ce n’était ni pour y débarquer ni pour y embarquer aucun passager. On ne voyait même pas l’aérogare. Les avions étaient parqués «au large» et attendaient patiemment leur passage à la pompe. Dubaï n’était rien d’autre qu’une gigantesque station service au milieu du désert.
En 1972, lors de mon premier passage à Dubaï, en route pour l’Extrême-Orient, quand le 707 d’Air France s’y posait la nuit, ce n’était ni pour y débarquer ni pour y embarquer aucun passager. On ne voyait même pas l’aérogare. Les avions étaient parqués «au large» et attendaient patiemment leur passage à la pompe. Dubaï n’était rien d’autre qu’une gigantesque station service au milieu du désert.
DUBAÏ AUJOURD’HUI
Dubaï fait partie de la Fédération des Emirats Arabes Unis créée en 1971. C’est l’émirat le plus riche après Abu Dhabi (la Capitale) La ville est encore un vaste chantier s’étendant sur des dizaines de kilomètres le long d’artères à huit ou dix voies, faisant reculer le désert.



Ce doit être aussi une ville terriblement polluante. Vu le prix du carburant ici, ça encourage les locaux à posséder un 4x4 d’autant que le désert n’est pas loin.

L’Emirat de Dubaï ne compte que 15 % d’Emiratis le reste étant composé pour la plupart de travailleurs des pays musulmans proches comme l’Iran, le Pakistan et d’autres, ou plus lointains comme l’Indonésie ou la Malaisie ce qui en fait l’une des villes les plus cosmopolites du monde. La communauté française y est également importante.
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