
Il n’y a pratiquement aucune aire de repos sur les autoroutes américaines. S’arrêter sur la bande d’arrêt d’urgence s’avère extrêmement risqué. Sortir de l’autoroute et se retrouver sans visibilité dans une circulation à double sens, et sans repère dans un endroit inconnu, n’est pas plus envisageable non plus. Toutes les voitures continuent à l’allure maximum autorisée (70 miles, soit 112 Km/h), avec une distance de sécurité bien marquée et les « warning » sur « on ». On suit le mouvement, et ça passe. Mais c’est nerveusement épuisant pour le conducteur… et les passagers.
Nous passons Daytona sous un déluge. Pas question de s’arrêter sous cette pluie. Tant pis !
Nous passons Daytona sous un déluge. Pas question de s’arrêter sous cette pluie. Tant pis !
Ici c'est Daytona !
Quelques nouveautés nous ont réconforté avec notre choix de nous arrêter : deux films en IMAX 3D avec une préférence pour celui qui présente la vie à bord de la station spatiale internationale. Et une nouvelle attraction : Un simulateur qui nous met en condition de décollage à l’intérieur d’une navette. Bruit, vibrations, tout y est. Impressionnant !
Pas assez de temps pour prendre le bus qui fait le tour des installations de la NASA (3 heures), mais nous l’avions déjà fait. Pas de regrets donc.
A noter que le ticket est valable pour une seconde entrée effectuée dans les 7 jours. Il donne également accès à l’ « Astronaut Hall of Fame » du Centre.
En sortant, la pluie s’est calmée et permet même quelques photos.
Nous y dînons. Le service est parfait et la nourriture… américaine mais très correcte pour une fois.
Dans la chambre, les draps sont troués, sur le palier le distributeur de boissons/ice-creams ne fonctionne pas mais encaisse tout de même (l'hôtel ne nous rembourse pas parce qu'il n’est que dépositaire. Il nous faut faire une réclamation nous-mêmes auprès de la concession, nous dit-on !).
Le lendemain, le petit-déjeuner offert consiste en un café et une pâtisserie danoise qu’il nous faut prendre dans la chambre. Nous déclinons le café pour 3 jus d’orange et demandons à être assis pour commander plus (oeufs au bacon), à notre charge. Le patron fort peu aimable nous prie de sortir et nous compte les jus d’orange petit format au prix du grand.
Si c’est ainsi qu’ils comptent bien démarrer… !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
si vous n'êtes pas hébergé(e)s par BlogSpot, Blogger ou autre blog chez Google, je n'ai aucun moyen de vous identifier donc de vous répondre directement (je ne reçois pas mention de votre adresse mail perso)
Si vous me posez une question sous forme de commentaire,
vous trouverez ma réponse également sous forme de commentaire sur le même message.
A vous d'y revenir. N'hésitez pas, vous êtes les bienvenu(e)s !